dimanche 20 juillet 2014

Jour 6 - Santorini

Santorini, c'est blanc, bleu et gris. Il n'y a pas vraiment de végétation parce que c'est un groupe d'île autour d'un volcan encore actif. On a vu des champs, sur les rives opposées au volcan, mais c'est pas mal tout. Toutes les maisons sont blanches et bleues. Ça donne un air assez "vacances" à tout ça. La majorité des passagers est également habillée en blanc. Donc vraiment, le décor est assez différent des autres destinations de notre croisière.

Autre différence, le bateau ne peut pas se rendre au quai. Il est donc ancré à quelques 100 mètres du bord et nous devons embarquer dans des navettes pour se rendre à terre. Il fallait se prendre un billet pour ne pas que tous les passagers se garochent en même temps aux navettes. Évidemment, ils avaient dit qu'ils donneraient les billets à partir de 7h30. À 7h36 nous étions genre 6 personnes en ligne et nous avons obtenu un billet pour la 10e navettes. Nath était super contente. Ça sert à quoi de caller 7h30 si tu donnes les billets à partir de 7h et que ceux qui font ce qui est demandé se ramasse avec une navette à 8h20. C'est peut-être pas clair, mais c'est chiant...

Sur l'île, il n'y a pas grand chose à faire. Nous débarquions au port de Fira, nous avons pris un bateau pour Oia, un village à la pointe Nord de l'île pour plus tard revenir à Fira par bus. À Oia, nous avons pris une marche dans les petites rues piétonnes de la ville. L'île est une grosse montagne, alors la vue était franchement magnifique. Nath a mangé un yogourt grec glacé. J'ai fini le yogourt grec glacé.

Une fois à Fira, nous avons marché pour trouver un restaurant offrant une salade grecque à un prix raisonnable. Nous n'avons donc pas mangé de salade grecque.

Le port de Fira et le village de Fira ne sont pas exactement un à côté de l'autre. Le village est au sommet de la montagne et le port à sa base. Nous avions donc trois options pour descendre. À pied, en funiculaire ou à dos d'âne. Nous nous sommes donc rendu aux messieurs qui criaient "DONKEY DONKEY MADAME DONKEY DONKEY", cri que j'ai repris tout le long de la descente. Le monsieur s'est un peu trop attardé sur les fesses de Nathalie pour l'aider à grimper sur l'âne. Moi il ne m'a offert que son épaule... Tous les ânes sont attaché ensemble ou lâchés lousses dans l'escalier, c'est au choix. Personnellement, j'étais bien content que notre monsieur nous garde tous attaché ensemble. Les deux autres filles avec nous ont eu une crise de panique quand leur âne s'est mis à bouger. Elles se sont mise à hurler et pleurer. J'ai donc vu de quoi ça avait l'air et je me suis retenu. J'étais tellement pas à l'aise.

Un française qui descendait à pied (parce que piétons et ânes se partagent le mini escalier pour descendre....en fait non, les ânes vont où ils veulent et les piétons se tassent). La française donc, en me voyant avec mon âne s'est écrié "pourquoi j'en ai pas eu un énorme comme ça moi". Finalement, on est arrivé en bas, on puait l'âne et on est retourné au bateau.

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